Parmi les peintres du début du siècle, j’avoue —et c’était d’ailleurs une des raisons de la publication en “Focus” de C’est la guerre— un faible pour Félix Vallotton, ses xylographies et ses illustrations.
Durant l’année 1907, Félix Vallotton se consacre à l’écriture d’un roman intitulé La Vie meurtrière, qui ne sera publié qu’en 1927 dans les colonnes de la revue “Le Mercure de France”, deux ans après sa mort.
C’est ce roman, à propos duquel le Dictionnaire de la peinture, publié chez Larousse, écrit que « l’observation froide, la sensibilité blessée et l’amertume recoupent et commentent sa peinture » que je vous propose de découvrir aujourd’hui.
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