Daté “Janvier 1907 – Janvier 1908”, ce roman fut publié par la revue le “Mercure de France“ entre le 15 janvier et le 15 mars 1927, avec sept dessins de l’auteur et accompagné d’une préface d’André Thérive dans laquelle il expliquait que le peintre lui avait confié le manuscrit avant de mourir deux ans plus tôt.
Il fut ensuite repris en volume en 1930 par “Les Lettres de Lausanne”.
L’édition utilisée pour l’établissement du texte de cette édition électronique est celle des “Éditions des Trois Collines” (Genève, Suisse) datée de novembre 1946. Les sept dessins de Félix Vallotton qui agrémentaient le texte sont repris ici et insérés là où ils figuraient dans le texte de cette édition.
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Jacques Verdier, 28 ans, critique d’art, s’est suicidé et a laissé un manuscrit à l’attention du commissaire venu constater sa mort.
Persuadé d’être victime d’une malédiction —toutes les personnes qui lui seraient un peu trop proches seraient vouées à une mort certaine—, il y retrace les faits qui, depuis sa petite enfance, lui portent à croire qu’en lui « réside un principe de mort… »
PS : Si vous débusquez une coquille dans le texte, merci de me l’indiquer, je la corrigerai et mettrai en ligne une version modifiée.
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